Sandrine Driessens aime écrire et participe à plusieurs ateliers d’écriture. En 2013 la mort de son père, la pousse à écrire non plus des poèmes ou des petits textes mais un témoignage sur la violence psychologique. Elle panse ses blessures pour ne pas en mourir. Elle dédie ce témoignage à la mémoire de son père. Son rêve d’être publiée sera exaucé par un éditeur qui avait rencontré son mari sur un salon d’art contemporain. Elle était cet après-midi là en train d’écouter le psychiatre et psychanalyste Boris Cyrulnik à une conférence qu’il donnait sur son livre les « âmes blessées ».
Un livre de Sandrine G. Driessens Une collection dirigée par Henri Kaufman